lundi 17 février 2014

COMMENTAIRE MIS SUR LE « BLOG » D’UN JEUNE DU MAROC


Ton averse de mots met en relief des maux qui gangrènent, depuis « ‘aame nodou trgdou »,[1] les sociétés où sévissent des « États » dits « musulmans », installés pour servir le système colonialo-impérialo-sioniste.[2]
Les adeptes du faux, à n’importe quel niveau, nient cette évidence et contribuent à alimenter et à entretenir l’imposture.
C’est pourquoi j’espère que tu vas répéter, encore répéter, toujours répéter ce que beaucoup taisent, camouflent ou travestissent.
« Marche aujourd’hui et marche demain, à force de marcher on fait du chemin ».
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Les feuilles s’étiolent.
Les branches s’affaiblissent.
L’arbre est à l’agonie.
Mais la sève demeure.
L’eau alimente des ruisseaux.
Rouges.
Couleur de terre.
Sang des artères.
L’herbe jaillit.
Verte.
« Aayaate »[3] à observer.
Temps et espace à lire.
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Des mots se mettent en mouvement.
Font voler en éclats les illusions.
Gomment les chimères.
Regagnent le cœur, puis se répandent dans tout l’être.
Recevoir.
Transmettre.
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Retrouver la force de l’enfance.
La mémoire qui résonne au rythme des mots inoubliés.
Rythme qui vient d’avant notre présence ici-bas.
Rythme des couleurs originelles.
De la route de la foi.
De la parure de la piété.
Rythme du Sens et du Lien.
De la Lumière.
Rythme des graines qui germent.
Des fleurs qui embaument l’immensité.
Rythme des invocations.
De la louange.
Du souvenir de Demain.
Rythme des êtres pour qui le temps ne compte pas et qui ne mesurent pas l'espace.
Des hommes et des femmes qui ont le souffle.
Qui savent, depuis l’aube de la vie, que l’avenir est à la piété.[4]
Sont-ils égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Seuls se rappellent les gens qui ont un cerveau.[5]
« Par le soleil et par sa clarté.
Par la lune quand elle le suit.
Par le jour quand il l’éclaire.
Par la nuit quand elle l’enveloppe.
Par le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A réussi celui qui l’a purifiée.
Et a perdu celui qui l’a corrompue ».[6]
  

BOUAZZA



[1] Depuis des lustres.
[2] Les pourris, mis à la "tête" de ces "États" exécutent les ordres de leurs employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la putréfaction.
Ces ʺÉtatsʺ sont fondés sur ce que l’Islaam rejette, dénonce, condamne et combat.
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[3] Signes
[4] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
[5] Oulou alalbaab.
[6] Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 au verset 10).
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :

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