Ton
averse de mots met en relief des maux qui gangrènent, depuis « ‘aame nodou
trgdou »,[1]
les sociétés où sévissent des « États » dits « musulmans »,
installés pour servir le système colonialo-impérialo-sioniste.[2]
Les
adeptes du faux, à n’importe quel niveau, nient cette évidence et contribuent à
alimenter et à entretenir l’imposture.
C’est
pourquoi j’espère que tu vas répéter, encore répéter, toujours répéter ce que
beaucoup taisent, camouflent ou travestissent.
« Marche aujourd’hui et
marche demain, à force de marcher on fait du chemin ».
Sont-ils
égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Les
feuilles s’étiolent.
Les
branches s’affaiblissent.
L’arbre
est à l’agonie.
Mais
la sève demeure.
L’eau
alimente des ruisseaux.
Rouges.
Couleur
de terre.
Sang
des artères.
L’herbe
jaillit.
Verte.
« Aayaate »[3] à
observer.
Temps
et espace à lire.
Sont-ils
égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Des
mots se mettent en mouvement.
Font
voler en éclats les illusions.
Gomment
les chimères.
Regagnent
le cœur, puis se répandent dans tout l’être.
Recevoir.
Transmettre.
Sont-ils
égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Retrouver
la force de l’enfance.
La
mémoire qui résonne au rythme des mots inoubliés.
Rythme
qui vient d’avant notre présence ici-bas.
Rythme
des couleurs originelles.
De
la route de la foi.
De
la parure de la piété.
Rythme
du Sens et du Lien.
De
la Lumière.
Rythme
des graines qui germent.
Des
fleurs qui embaument l’immensité.
Rythme
des invocations.
De
la louange.
Du
souvenir de Demain.
Rythme
des êtres pour qui le temps ne compte pas et qui ne mesurent pas l'espace.
Des hommes et des femmes qui
ont le souffle.
Qui savent, depuis l’aube de la
vie, que l’avenir est à la piété.[4]
Sont-ils
égaux ceux qui savent et ceux qui ne savent pas ?
Seuls
se rappellent les gens qui ont un cerveau.[5]
« Par
le soleil et par sa clarté.
Par
la lune quand elle le suit.
Par
le jour quand il l’éclaire.
Par
la nuit quand elle l’enveloppe.
Par
le ciel et par Celui qui l’a construit.
Par
la terre et par Celui qui l’a étendue.
Par
l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.
Et
lui a inspiré son immoralité et sa piété.
A
réussi celui qui l’a purifiée.
Et a
perdu celui qui l’a corrompue ».[6]
BOUAZZA
[1]
Depuis des lustres.
[2] Les
pourris, mis à la "tête" de ces "États" exécutent les ordres de leurs
employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste, salissent et souillent
tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la
débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux
mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries,
aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.
Ces ʺÉtatsʺ sont fondés sur ce que l’Islaam rejette,
dénonce, condamne et combat.
L’Islaam
depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son
mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[3]
Signes
[4]
Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
[5]
Oulou alalbaab.
[6] Alqoraane
(Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10
(verset 1 au verset 10).
Je
ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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