Elle
a décidé de surprendre celui dont elle a fait un époux[1] en proposant d’aller à sa place, récupérer son fils à la garderie.
En
sa qualité « d’épouse émancipée », « de femme libérée »,
« de mère active », de « beurette[2] ayant
fait des études », et autres, elle n’a pas oublié de prendre une photo de
l’enfant pour le reconnaître.[3]
BOUAZZA
[1] Comme
d’autres ʺfemmes libéréesʺ, elle s’est dénichée quelqu’un qu’elle peut
manipuler à sa guide, et en a fait un époux qui, con-vaincu je ne sais par
quoi, se fait tout dicter.
[2] Terme
mis sur le marché en France pour désigner, le plus souvent, une femelle ʺarabeʺ
dite ʺlibéréeʺ.
Beurettes
au pluriel, beurs pour les mâles : J’ai parlé des deux plus d’une fois.
Le
mérite de cette "trouvaille" revient à la gauche, aux socialistes
du temps de leur tonton François Mitterrand et de l’équipe de propagande sioniste
dite "touche pas à mon pote" (S.O.S. racisme).
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes
(almouminoune wa almouminaate), toutes les armes sont mobilisées depuis des
lustres, et les mots sont une arme de destruction massive.
Les vocables ″beurs″ et ″beurettes″, supposés vouloir
dire ″arabes″ en verlan, visent en fait à détruire dans ″la métropole″, la
mémoire des personnes issues du processus migratoire, originaires de la colonie
dite arabo-musulmane, à entretenir la confusion, et à répandre l’imposture.
30 EUROS FELLATION + ANAL + JE PEUX ME DEPLACE
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