vendredi 7 août 2015

ENCORE SUR « LA BEURETTE »

Elle a décidé de surprendre celui dont elle a fait un époux[1] en proposant d’aller à sa place, récupérer son fils à la garderie.
En sa qualité « d’épouse émancipée », « de femme libérée », « de mère active », de « beurette[2] ayant fait des études », et autres, elle n’a pas oublié de prendre une photo de l’enfant pour le reconnaître.[3]

BOUAZZA




[1] Comme d’autres ʺfemmes libéréesʺ, elle s’est dénichée quelqu’un qu’elle peut manipuler à sa guide, et en a fait un époux qui, con-vaincu je ne sais par quoi, se fait tout dicter.
[2] Terme mis sur le marché en France pour désigner, le plus souvent, une femelle ʺarabeʺ dite ʺlibéréeʺ.
Beurettes au pluriel, beurs pour les mâles : J’ai parlé des deux plus d’une fois.
Le mérite de cette "trouvaille" revient à la gauche, aux socialistes du temps de leur tonton François Mitterrand et de l’équipe de propagande sioniste dite "touche pas à mon pote" (S.O.S. racisme).
Dans la guerre contre les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate), toutes les armes sont mobilisées depuis des lustres, et les mots sont une arme de destruction massive.
Les vocables ″beurs″ et ″beurettes″, supposés vouloir dire ″arabes″ en verlan, visent en fait à détruire dans ″la métropole″, la mémoire des personnes issues du processus migratoire, originaires de la colonie dite arabo-musulmane, à entretenir la confusion, et à répandre l’imposture.

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