Une
personne qui fait de son mieux pour éviter ce qui est blâmable, qui est
attachée à des valeurs, à une morale, à une éthique, est mise à l’index par
ceux et celles qui « s’éclatent », qui « s’amusent », qui « sont
ouverts à tout », qui mènent « une vie d’enfer ».[1]
Il
faut vivre avec son temps, répètent-ils.
Parmi
ces personnes prêtes, à n’importe quoi, les « adultes » sont légion.
Des
époux, des épouses, des pères, des mères, s’adonnent à des pratiques
condamnables, ne s’inquiètent pas de leur perversité, participent à la
pédérastie, au lesbianisme, à la pédophilie, cèdent aux cougars,[2] et
autres salopes, courent derrière les gigolos.
Et
ces personnes jouent à « la famille », dite « cellule de base de
la société » !
La
débauche est généralisée, le vice, la corruption, le mensonge, le faux, la
tromperie et l’imposture n’épargnent aucun domaine, l’inconscience, l’inconséquence,
l’immaturité, l’irresponsabilité, et autres, sont partout.
Et ces fléaux sont présentés comme des attributs de
« l’émancipation » et de « la libération ».[3]
BOUAZZA
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