lundi 3 août 2015

DES FLÉAUX ? QUELS FLÉAUX ?

Une personne qui fait de son mieux pour éviter ce qui est blâmable, qui est attachée à des valeurs, à une morale, à une éthique, est mise à l’index par ceux et celles qui « s’éclatent », qui « s’amusent », qui « sont ouverts à tout », qui mènent « une vie d’enfer ».[1]
Il faut vivre avec son temps, répètent-ils.
Parmi ces personnes prêtes, à n’importe quoi, les « adultes » sont légion.
Des époux, des épouses, des pères, des mères, s’adonnent à des pratiques condamnables, ne s’inquiètent pas de leur perversité, participent à la pédérastie, au lesbianisme, à la pédophilie, cèdent aux cougars,[2] et autres salopes, courent derrière les gigolos.
Et ces personnes jouent à « la famille », dite « cellule de base de la société » !
La débauche est généralisée, le vice, la corruption, le mensonge, le faux, la tromperie et l’imposture n’épargnent aucun domaine, l’inconscience, l’inconséquence, l’immaturité, l’irresponsabilité, et autres, sont partout.
Et ces fléaux sont présentés comme des attributs de « l’émancipation » et de « la libération ».[3]

BOUAZZA




[1] Qui signifie pour eux ʺune vie formidableʺ.
[2]  Femelles d’âge dit ʺmûrʺ, sautant sur la chair dite ʺfraîcheʺ.
Je ne fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé plus d’une fois.

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