jeudi 30 avril 2015

« GARDER LE SECRET »

Le viol d’enfants en Afrique par la soldatesque française a été dénoncé par un cadre de l’ONU[1] en 2014.[2]
Il risque d’être licencié parce qu’il ne fallait rien dire.
Le « secret » a été bien gardé, mais il vient d’éclater[3] au grand jour et subitement, la France de gauche, en charge de l’État, se met, depuis vingt quatre heures, à radoter sur « la lumière qui sera faite pour prendre les mesures qui s’imposent » ![4]

BOUAZZA



[1] Organisation des Nations Unies.
[2] Selon le calendrier dit grégorien.
[3] Est-ce l’éclat d’une bombe islamiste, c’est à dire terroriste, qui risque d’atteindre la laïcité ?

Á VÉLO


Nous pédalions tout ce que nous pouvions, accompagnés de notre bonne humeur.
Des travailleurs immigrés originaires des colonies, nous attendaient dans un foyer, pour parler de l’occupation de filistiine[1] par le sionisme.[2]
Avec mon camarade, nous avions un moral qui était aussi, celui d’innombrables étudiants en France, des militants pour Filistiine : un moral de jeunes, que rien n’intimidait.
Qu’en est-il aujourd’hui, des dizaines d’années après ?
Que suis-je devenu ?
Qu’est devenu mon camarade ?
Que sont devenus les autres camarades ?
Que sont devenus les travailleurs immigrés originaires des colonies ?
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.[3]
  
BOUAZZA



[1] Palestine.
[2] J’assurais auprès de travailleurs immigrés originaires des colonies, des cours d’alphabétisation : c’est dans ce cadre que mes rapports avec une étudiante qui militait avec moi, ont abouti au mariage, il y a de cela des dizaines d’années.

mercredi 29 avril 2015

UNANIMES DANS LEUR HAINE

Ils sont unanimes dans leur haine de l’Islaam,[1] et cette haine consolide l’attachement des croyants et des croyantes[2] au Message d’Allaah.[3]
  

BOUAZZA




[1] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
L’Islaam a trait au Message d’Allaah, Message qui, pour ce qui est des êtres humains, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[2] Almouminoune wa almouminaate.
Poursuivant les multiples agressions et les atteintes aux droits les plus élémentaires des croyants et des croyantes, des États, dont la France, étalent leur haine de l’Islaam avec fierté, arrogance et orgueil.
Dernièrement, une élève croyante (encore une), âgée de 15 ans, scolarisée dans un collège de Charleville-Mézières, dans le département des Ardennes (08) a été exclue pour ʺatteinte à la laïcitéʺ, en raison d’une jupe longue, c’est à dire non laïque.
Les pratiques de ce genre sont légion, depuis toujours, comme celles où des croyants et des croyantes continuent d’être éliminés, par tous les  moyens.

mardi 28 avril 2015

SE REMETTRE EN QUESTION


Les croyants et les croyantes[1] se remettent en question pour faire de leur mieux, afin d’Adorer[2] Allaah, comme Allaah le demande.
Ils ne se remettent pas en question pour plaire à une personne ou à une autre, en dehors de cette préoccupation.
Se remettre en question, être modeste, humble ne veut pas dire adhérer à ce qui n’a rien à voir avec l’Adoration d’Allaah.
La modestie et l’humilité renforcent la fermeté et la détermination dans la Voie d’Allaah.
Parmi les personnes qui ne le comprennent pas, certaines soutiennent alors que les croyants et les croyantes font preuve d’arrogance, de suffisance et prétendent tout savoir.
Ce qui est grave, c’est que des attaques de ce genre proviennent même de personnes qui se veulent attachées à l’Islaam.[3]
Les croyants et les croyantes ont toujours fait face à l’incompréhension, au rejet, aux attaques, aux calomnies, aux mensonges et autres.
Mais que faire lorsque les attaques proviennent de personnes qui, comme les croyants et les croyantes, se proclament de l’Islaam ?[4]
  

BOUAZZA




[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] Adoration, al’ibaada.
[3] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
L’Islaam a trait au Message d’Allaah, Message qui, pour ce qui est des êtres humains, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.

ÉPHÉMÈRE ET ÉTERNITÉ

Ici-bas c’est l’éphémère.
L’au-delà c’est l’éternité.[1]

lundi 27 avril 2015

MATRIE


L’État[1] des croyants et des croyantes[2] n’existe plus, nulle part, mais les membres de la matrie, alomma, la communauté des croyants et des croyantes, par la miséricorde d’Allaah, sont partout et seront partout, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.[3]


BOUAZZA





La peinture qui illustre ce texte est de moi : Elle représente la Demeure Sacrée d’Allaah (Bayte Allaah Alharaam), alka’ba (la kaaba) à Makka (la Mecque).
[1] Cette appellation n’exclut pas d’autres.
[2] Almouminoune wa almouminaates.

samedi 25 avril 2015

TOUJOURS SUR LA TÊTE Á CLAQUES

Il arrive, et je l’ai déjà signalé plus d’une fois, qu’une personne s’épuise à s’enduire d’une « couche de vernis » qu’elle tente d’utiliser afin de leurrer d’autres et use, d’un langage dit « sophistiqué », pour que n’apparaisse pas ce qu’elles veut camoufler.
Lorsque cette personne se réclame de l’Islaam,[1] il est important de lui rappeler qu’elle doit faire de son mieux pour se réformer, délaisser les pratiques repoussantes et mettre fin à ce que les croyants et les croyantes[2] doivent rejeter clairement.[3]
Mais que faire lorsque cette personne ne veut rien entendre tout en continuant de se réclamer de l’Islaam ?
  
BOUAZZA



[1] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
L’Islaam a trait au Message d’Allaah, Message qui, pour ce qui est des êtres humains, est adressé à toute l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir la confusion, l’imposture.
[2] Almouminoune wa almouminaate.

jeudi 23 avril 2015

LE JOUR DES COMPTES VIENDRA

La mascarade dite « politique » au Maroc permet à des minables de tout bord, y compris parmi des « ministres » dits « défenseurs de l’Islaam », de s’adonner à tout ce que l’Islaam condamne.
L’adultère en fait partie, bien sûr.
Et ces minables, serviteurs du régime de l’imposture, continuent de se prétendre croyants et croyantes.[1]
Tout cela s’étale sous l’œil du proxénète en chef, le système colonialo-impérialo-sioniste, qui veille à ce que la puanteur n’épargne aucun des « États »[2] dits « musulmans ».
Ce proxénète en chef se charge par ailleurs d’entretenir le discours sur ce qu’il appelle « l’islam de tolérance », qu’il assimile aux maisons du même nom.
Bien sûr, il y a la phraséologie trompeuse qui a fait, qui continue de faire et qui fera des victimes sans nombre, dans tous les domaines, mais le jour viendra où ces minables rendront des comptes.[3]
  

BOUAZZA

mercredi 22 avril 2015

COMMENT RECONNAÎTRE L’HYPOCRITE

 ‘Abd Allaah Ibn ‘Amr[1] rapporte que le Prophète, sur lui la bénédiction et la paix, a dit :
« Quatre choses, lorsqu’elles se trouvent chez quelqu’un, en font un parfait hypocrite.
Celui chez qui se trouve l’une d’elles sera atteint d’hypocrisie jusqu’à ce qu’il la délaisse.
Lorsqu’on lui fait confiance, il trahit ; lorsqu’il raconte, il ment ; lorsqu’il promet, il ne tient pas la promesse et lorsqu’il discute, il est de mauvaise foi ».[2]




[1] Qu’Allaah le bénisse.
[2] Sahiih Albokhaarii (l’authentique de Boukhari), Bayroute (Beyrouth), Lobnaane (Liban), Éditions Daar Alqalame, 1407 (1987), tome 3, baab (chapitre) 25, p.81.
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :

lundi 20 avril 2015

BAGUI

Ils m’appellent tous les deux Bagui.
C’est le plus jeune,[1] d’un mois et demi, qui m’a prénommé ainsi.
Le plus âgé[2] a adopté cette appellation.
Pour eux, cela veut dire grand-père, puisque je suis leur grand-père.
C’est un fabuleux bienfait d’Allaah d’avoir des petits-enfants.[3]
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.
Des souvenirs s’assemblent.
Des pensées se rassemblent.
Des mots s’associent.
Ravissement.
Ruissellement de paix.
Reconnaissance.
Mes petits enfants renforcent en moi le parfum de l’aube de la vie, et parfois, par le simple fait de me regarder, ils savent me redire le cycle fabuleux, la voie du destin de chaque être et donc de l’enfant, qui n’appartient ni au père, ni à la mère, et qui doit accomplir ce pourquoi il est ici-bas, en attendant de rejoindre l’au-delà.
Quand ils sont ensemble à la maison, leur bonheur à de délicieuses saveurs.
Et lorsque parmi les divers mets qu’ils apprécient, un tajiine[4] par exemple leur est servi, ce bonheur se traduit aussi par :
- Encore de la vianda[5] Bagui.
Pour des frites, c’est :
- Encore des fritos Bagui.
Mes amigos,[6] dont mon épouse, leur grand-mère, parlerait beaucoup mieux que moi, me communiquent souvent ce qui parfois se perd avec l’âge dit « adulte » et qu’ils m’offrent généreusement : l’affection.
En regardant avec eux des vidéos sur internet, je suis heureux d’observe leur fascination, de sentir leur émerveillement, et de partager leurs émotions.
C’est comme lorsque je les accompagne au parc, au manège et ailleurs : je voudrais que ces moments durent encore et encore.
Se cacher lorsque les parents, ou d’autres personnes sonnent, fait partie des jeux appréciés.
L’un utilise un coin du salon comme cachette, et l’autre aime se mettre avec moi sous une couverture sur le divan ;
Mais bien que d’accords pour tenir longtemps cachés,[7] ils ne peuvent s’empêcher de se "dénoncer" presque aussitôt, dans des rires communicatifs.
Il m’arrive cependant de ne pas les supporter parfois, et de vouloir leur départ de la maison. C’est rare, mais je l’ai senti pendant une période où j’étais très affaibli par une infection qui a duré des semaines en me provoquant une toux persistante, où j’avais du mal à dormir et même à m’allonger, et durant laquelle je devais par ailleurs effectuer analyses et examens préparatoires pour une intervention chirurgicale.
Dans des moments pareils, ils ont un sens inné pour capter que « Bagui n’est plus Bagui » : comment demander pardon à mes amigos ?
Le plus âgé, un "fan" de chocolat, a un frère qui va avoir un an dans deux mois et demi ine chaa-e Allaah,[8] et qui a déjà le sens de la communication.
Je l’accueille souvent avec le mot « watikilimimi »,[9] auquel j’avais recours avec son frère et son cousin.
Ce mot lui plaît et sa joie me va droit au coeur : qu’Allaah soit remercié pour cette miséricorde,[10] et pour tout le reste.


BOUAZZA




[1] Enfant de mon fils aîné et de son épouse.
[2] Enfant de mon fils cadet et de son épouse.
[3] Les bienfaits d’Allaah sont innombrables, et il nous est impossible de les compter.
[4] Tajine.
Plat de viande, de légumes, de sauce avec de la coriandre et des épices (un ragoût).
[5] Comme moi, ils aiment la viande, qu’ils appellent comme moi, la ʺviandaʺ.
[6] Je les appelle ainsi pour dire mes amis, et ça leur plaît.
[7] Les parents ou les autres personnes informées se prêtent au jeu.
[8] Seul Allaah sait s’il va y avoir d’autres petits enfants, et si je serai encore de ce monde pour partager des moments avec eux.
[9] Mot affectueux sorti tout droit de mon coeur.

samedi 18 avril 2015

« PROVOCATION »

Un « quarteron » d’employés du système colonialo-impérialo-sioniste, dit « États », qui ne sait pas trop quoi faire de l’armement sophistiqué que ses employeurs lui fourguent à prix d’or (noir), est chargé par ces employeurs, sous le contrôle de leurs conseillers militaires, de procéder à des destructions au Yemen, et de massacrer les populations de cette contrée.
Pourquoi ?
Il ne sera pas répondu à cette question qui est une provocation « islamiste », c’est à dire « terroriste ».
Tout en détruisant le Yemen et en massacrant ses populations, le « quarteron » finance des opérations « humanitaire » pour les populations du Yemen !
Qu’est-ce à dire ?
Il ne sera pas répondu à cette question qui est une provocation « islamiste », c’est à dire « terroriste ».[1]
  
BOUAZZA

mercredi 15 avril 2015

« CURE »


Le colonialisme français a eu recours à la « cure » pour « récompenser » quelques colonisés, et les faire venir à cet effet en métropole : une propagande « efficace » pour l’apport « civilisationnel ».[1]
Après « l’indépendance dans l’interdépendance »,[2] la propagande colonialiste s’est concentrée sur d’autres clichés, dont certains restent et resteront en tête du catalogue de l’imposture.
  

BOUAZZA




Mon père, employé de l'administration colonialiste au Maroc, ʺbénéficiaire d’une cureʺ.
[1] Lorsque des personnes des pays qui ont connu le colonialisme français et ses horreurs pendant des dizaines et des dizaines d’années veulent parler de ces horreurs, la France qui poursuit des horreurs du système colonialo-impérialo-sioniste, leur demande, avec arrogance et mépris, de se taire, et désire qu’ils tournent la page, et même qu’ils soient reconnaissants pour l’apport ʺcivilisationnelʺ du système colonialo-impérialo-sioniste, qui continue d’œuvrer pour ʺla défense de la civilisationʺ.
Cette France colonialiste a connu cinq ans d’occupation par l’Allemagne pendant la deuxième guerre dite mondiale, 1940-1945 selon le calendrier dit grégorien.
Une énorme importance continue d’être accordée à cette période au nom de ce qui est appelé "le devoir de mémoire″, entretenu par un flot constant de publications, de films, d’images, de conférences, de discours, de cérémonies, de célébrations, de commémorations, d’hommages, de décorations et autres.
Et pendant que la France fêtait la libération, après l’utilisation des populations colonisées par centaines de milliers comme chair à canon, de leurs biens, et de leurs territoires, le colonialisme français continuait l’asservissement, l’oppression, les massacres et autres horreurs dans les colonies.
Les criminels du colonialisme, de l’impérialo-sionisme et leurs collaborateurs restent des ʺhérosʺ.
[2] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au Maroc, colonie française dite ″protectorat″, le système colonialo-impérialo-sioniste a transformé le sultanat en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le sultan, protégé est alors devenu roi au service de ce système.
Voir :

mardi 14 avril 2015

CACA


Déby, dit Président du Tchad, la France sait comment et depuis quand, est paraît-il malade.
Son fils, Kaka (c’est son nom) qui veut lui succéder est confiant puisque la France veille toujours sur caca africa.[1]
  

BOUAZZA

mardi 7 avril 2015

UNE PHOTO


Mon père porte une de mes soeurs,[1] de deux ans mon aînée : fixe-t-elle notre père ou notre mère ?
Ma mère, enceinte de moi, semble observer son ventre : est-ce pour ne pas fixer l’objectif de l’appareil photo ?
Fixée au mur afin de lui donner un relief autre, une couverture à desseins géométriques, oeuvre peut-être de ma mère, qui excellait dans ce domaine.
Á l’époque où la photo a été prise,[2] le colonialisme français[3] n’avait pas encore octroyé « l’indépendance dans l’interdépendance »[4] à beaucoup de ses colonies d’Afrique,[5] dont le Maroc fait partie.
Chaque fois que j’observe cette photo, je prends le temps de me regarder dans le ventre de ma mère : que vois-je ?
Ma mère et mon père ne sont plus de ce monde.
La marche de ma soeur et la mienne se poursuivent dans l’impermanence d’ici-bas, vers la permanence de l’au-delà.
Qu’Allaah déverse sur nous Sa miséricorde.[6]
  

BOUAZZA




[1] Il y a un certain nombre d’années, c’est cette soeur qui a confié cette photo à son fils aîné, mon neveu qui vient me voir lors de ses passages en France, afin qu’il me la remette.
[2] Avant ma naissance qui remonte à l’année 1950, selon le calendrier dit grégorien.
[3] Et le colonialisme espagnol.
[4] Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est traduit dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États" sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement, la négation de l’être humain.
Au Maroc, colonie française dite ″protectorat″, ce système a tout mis en place afin que le sultanat soit transformé en monarchie héréditaire, dite de "droit divin".
Le sultan, protégé est alors devenu roi au service de ce système.
[5] Et d’ailleurs.

samedi 4 avril 2015

ENCORE SUR LA TÊTE Á CLAQUES

Il arrive, et je l’ai déjà signalé, qu’une personne s’épuise à s’enduire d’une « couche de vernis » qu’elle tente d’utiliser afin de leurrer d’autres et use, d’un langage « sophistiqué », pour que n’apparaisse pas ce qu’elles veut camoufler.
Lorsque cette personne se réclame de l’Islaam,[1] il est important de lui rappeler qu’elle doit faire de son mieux pour se réformer, délaisser les pratiques repoussantes et mettre fin à ce que les croyants et les croyantes[2] doivent rejeter clairement.[3]
  

BOUAZZA



[1] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
L’Islaam se rapporte au Message d’Allaah à l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques, les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes, les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour entretenir et maintenir l’imposture.
[2] Almouminoune wa almouminaate.