« Nous
vous éprouverons par un peu de peur, de faim, de réduction des biens, des
personnes et des récoltes. Et annonce la bonne nouvelle aux endurants. Ceux qui
lorsqu’un malheur les atteint disent : ʺNous sommes à Allaah et à Lui nous
retournonsʺ ».[1]
[1] Alqoraane
(Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 155 et aayate
156 (verset 155 et verset 156).
Kachriid
note que ʺla formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle ʺistirjaa’eʺ.
Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en effet une réelle
consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand
on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers
Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin
devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous
reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait
que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune
contrepartie de la nôtre.
Que
pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité
totale ? »
Salaah
Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran),
Lobnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami,
cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note
en bas de la page 30.
Je
ne fais que reprendre ce à quoi je me suis déjà référé.
Voir :
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