Le
système colonialo-impérialo-sioniste alimente et entretient l’imposture
partout, utilise des « États »
dits « musulmans », en installant à leur « tête » des
dévoyés qui dégoulinent d’argent sale, de vice et de trahison.
Ils
répandent depuis longtemps les moeurs dissolues et font des lieux où ils
sévissent, des dépotoirs.
Ils
commettent les crimes les plus abominables et les plus nauséabonds, recourent à
la torture sous toutes ses formes, sodomisent, et massacrent des hommes,
violent, méprisent, humilient et tuent des femmes, maltraitent, et font
disparaître des enfants.
Les
« chefs » de ces « États » pions, ont des comptes bancaires
partout, des lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de grande valeur,
des fermes modèles, des haras, des propriétés immobilières sans nombre, des
résidences dans les « grandes capitales » et au bord de « plages
pour milliardaires », des palaces, des tableaux de peintres de renom, des
cabarets, des boîtes de nuit, des salles de jeu, des restaurants, de la drogue,
des voitures luxueuses, des avions, des bateaux et autres.
Ils
s’adonnent à la pédophilie et entretiennent la turpitude.[1]
Ce
sont des pilleurs de milliards de dollars,[2]
amassés avec l’appui de leurs employeurs du système
colonialo-impérialo-sioniste, chez qui ils les placent dans les banques, dans
l’acquisition de propriétés immobilières, de commerces et autres.
Ils
investissent sans compter dans les lieux de la débauche, se font livrer par
vols entiers des débauchés dits stars, artistes et autres, des alcools et autres
drogues à profusion, des mets pour « civilisés » que les
« barbares » ne connaissent même pas de nom
Ils
raffolent de sexe sans frontières et de partouzes mondialistes.
Ils salissent et souillent tout, recourent à la
tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux
usurpations, aux vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux
trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux
enlèvements, aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux
tortures, aux liquidations, aux tueries, aux massacres et autres à des degrés
inimaginables, répandent les horreurs, la décomposition, la puanteur et la
putréfaction.[3]
Pour eux, l’humain est réduit à rien.
Ils sont un virus qui contamine les populations, se
répand partout et cause d’innombrables ravages.
Les croyants et les croyantes[4]
savent que ces « États » n’ont rien à voir avec l’Islaam,[5] que
les individus placés à leur « tête » sont des imposteurs et que
depuis des lustres, aucun État Musulman n’existe plus, nulle part.
La résistance des croyants et des croyantes continue
et continuera jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.[6]
BOUAZZA
[1] Ces corrompus, gonflés d’orgueil, pervers, arrogants,
méprisants font tout pour être classés parmi les "plus riches" sur le
plan international.
[2] Qui
se chiffrent pour certains en plusieurs dizaines de milliards de dollars,
pendant que les richesses des pays sont volées et des populations affamées.
[3] Leurs
employeurs du système colonialo-impérialo-sioniste s’en débarrassent lorsqu’ils
ne peuvent pas faire autrement, pour les remplacer par leurs semblables en
ayant recours à un "autre" discours destiné à alimenter, à
entretenir la confusion et la manipulation.
[4] Almouminoune wa almouminaate.
[5] [5] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État des croyants et
des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
[6] Je ne
fais que reprendre ce dont j’ai déjà parlé.
Voir :
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