jeudi 31 juillet 2014

« ÉNIGME » ?

Des personnes, atteintes de je ne sais quoi, peuvent s’abaisser tout en se sentant « appréciées » et « valorisées » !
Le fait que des hommes et des femmes profitent d’elles et les utilisent dans divers domaines, est pour elles un moyen de « paraître », « d’attirer l’attention » et donc d’avoir du « plaisir » !
Lorsque quelqu’un veut les aider à prendre conscience de leur état afin qu’elles changent en délaissant ce comportement, elles font semblant de ne pas comprendre, surtout  quand l’intervention vient d’un « proche ».
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide.[1]

BOUAZZA

lundi 28 juillet 2014

JOYEUX ‘IIDE ALFITR


Aujourd’hui, lundi premier chawwaal 1435,[1] c’est ‘iide alfitr, la fête de la rupture du jeûne.
Le mois de ramadaane[2] est parti.
Il reviendra l’année prochaine et ainsi, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Les croyants et les croyantes[3] sont reconnaissants à Allaah de leur avoir permis de jeûner.
Ils l’invoquent pour qu’il accepte leur jeûne, les éclaire et les guide afin qu’ils soient toujours de ceux et de celles qui font de leur mieux pour l’Adorer[4] comme Il le demande.
Joyeux ‘iide alfitr.[5]

 BOUAZZA



[1] 28 juillet 2014, selon le calendrier dit grégorien.
[2] Mois de jeûne en Islaam.
Un mois où de l’aube au coucher du soleil, les personnes saines d’esprit et pubères s’abstiennent de manger et de boire.
Les époux et les épouses s’abstiennent d’avoir des rapports sexuels durant la journée de jeûne.
C’est un mois propice aux efforts pour se ressourcer afin de s’améliorer et d’essayer de faire de son existence ici-bas, une existence alimentée par le Message d’Allaah.
Un mois pour continuer, avec plus de force encore, le parcours dans la Voie d’Allaah.
[3] Almouminoune wa almouminaate.
[4] Adoration, ‘ibaada.

dimanche 27 juillet 2014

LE JOUR OÙ L’HOMME VERRA CE QUE SES MAINS ONT PRÉPARÉ

« Nous vous avons mis en garde contre le châtiment proche, le jour où l’homme[1] verra ce que ses mains ont préparé[2] et où le mécréant dira : ʺOh comme j’aurais aimé n’être que poussièreʺ ».[3]



[1] Almar-e (le ʺrʺ roulé).
[2] Qaddamate, avancé.
[3] Kachriid (le ʺrʺ roulé). note que dans la tombe, le corps du mécréant ʺn’était plus que de la poussière. Mais Allaah l’a ressuscité et il doit subir le grand jugement. C’est pourquoi il souhaiterait être encore dans sa tombe, bien que, même dans sa tombe, il ne connaisse ni paix ni reposʺ.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 788.
Alqoraane (Le Coran), sourate 78 (chapitre 78), Annaba-e, La Nouvelle, aayate 40 (verset 40).
Voir :

samedi 26 juillet 2014

LORSQUE LES IMPOSTEURS SE PROCLAMENT « DÉFENSEURS DE L’HUMANITÉ »

Ceux qui par le système monétaire imposé à l’échelle internationale ont dicté, dictent ce qu’il faut faire ou ne pas faire et ont utilisé, utilisent les « gouvernements » pour continuer à considérer l’univers comme un marché au service des banques, ceux qui ont déporté des millions d’Africains réduits à l’esclavage et qui continuent de faire du continent un dépotoir, ceux qui se sont illustrés dans les horreurs en Amérique du Sud, en Australie, en Nouvelle-Zélande et ailleurs, ceux qui ont transformé la terre en propriété à partager entre les colonialistes, ceux qui ont tout expérimenté sur des populations en Europe et dans d’autres continents et qui ont provoqué des guerres planétaires avec des crimes inimaginables pour servir leurs intérêts, ceux qui ont pillé et qui pillent tout ce qu’ils peuvent, ceux qui se sont appropriés et qui s’approprient ce qui ne leur appartient pas, ceux qui ont rempli et qui remplissent des lieux d’enfermement par les personnes qui leur résistent, ceux qui ont kidnappé, enlevé, arrêté, torturé et qui kidnappent, enlèvent, arrêtent, torturent les personnes qu’ils n’arrivent pas à soumettre, ceux qui ont fait disparaître et qui font disparaître des êtres qui les gênent, ceux qui ont usé et qui usent de tous les moyens de répression, ceux qui ont alimenté et qui alimentent le mensonge, la tromperie, la tricherie, l’hypocrisie, la corruption, la débauche, le vice, la perversité, ceux qui ont nourri et qui nourrissent les injustices, ceux qui ont fait et qui font de l’écrasement des autres une règle de conduite, ceux qui ont exterminé les Indiens, ceux qui ont jeté des bombes atomiques en Asie, sur les populations du Japon, qui ont eu recours à tous les moyens de destruction en Corée, au Vietnam, au Cambodge, au Laos, en Iraq et dans d’innombrables autres régions, ceux qui ont fait et qui font tout pour éliminer les populations Palestiniennes et dépalestiniser la Palestine par une colonisation de peuplement mondiale, ceux qui ont supprimé des millions d’êtres humains et occupé des pays « pour faire triompher le socialisme », ceux qui se vantent de leurs champs de ruines en Tchétchénie, ceux qui détiennent les armes de destruction massive les plus sophistiquées et l’armement nucléaire le plus terrifiant, ceux qui ont violé et qui violent les droits les plus élémentaires, transplantent, humilient, exploitent, terrorisent, anéantissent partout, ceux qui détruisent des pays dans tous les domaines, ceux qui ont pollué et qui ne cessent de polluer de manière effroyable, ceux-là et d’autres encore qui ont entretenu et qui entretiennent le pire, s’étaient proclamés et se proclament « défenseurs de l’humanité » ![1]

  
BOUAZZA

vendredi 25 juillet 2014

jeudi 24 juillet 2014

VINGT-SIXIÈME MATIN DU MOIS DE RAMADAANE


« Mohammed[1] cheminait à pas lents le long du sentier escarpé, par ce vingt-sixième[2] matin du mois de Ramadan[3] ─ un homme très paisible d’apparence, très fragile au-dedans. Cheminant, il avait l’étrange impression de descendre à la fois vers sa ville natale, la Mecque,[4] et vers la première aube : la genèse des mots. Parfois il fermait les yeux, tant les rayons du soleil étaient acérés et tant il doutait de sa raison. Mais, même quand il les rouvrait et les gardait fixes, sans ciller, il voyait encore et toujours danser devant lui, tels des pans épars d’un mirage étendu à travers l’espace, un amas de sons confus dont il ne pouvait tirer qu’une idée sans forme ni noyau, rien qu’un appel de la mémoire, retentissant sans un cri. Des syllabes qui étaient avant tout une musique.
De toutes ses forces, il essayait de lutter afin de retrouver la réalité rassurante. Désespérément.
T.H….A.L.M….Y.S.[5] Des lettres étaient en lui, groupées par deux ou trois, circulaient dans ses veines, circulaient dans la moelle de ses os, marchaient de part et d’autre de son corps, comme autant de témoins ressuscités d’entre les morts. C’était comme s’il les avait tant connues, puis perdues dans l’autrefois ─ tant aimées. Lambeaux de brouillard irisés par la lumière du jour, des lambeaux de phrases enchaînés les uns aux autres, s’estompant à peine élaborés, puis revenant à la charge avec une vie aiguë, chaque voyelle et chaque consonne s’exprimant par sa propre voix : …Quand il sera demandé à une âme pour quel crime elle a été tuée… ... Par les figues et par les olives… Se peut-il que, retournés à l’état de poussière, nous devenions ensuite une création nouvelle ? [6]



[1] Il s’agit de l’ultime Prophète et Messager Mohammad sur lui la bénédiction et la paix, au début de sa désignation par Allaah pour continuer et achever de transmettre le Message de l’Islaam.
L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État des croyants et des croyantes (almouminoune wa almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les ″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les combat.
L’État des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
[2] Aujourd’hui c’est le vingt-sixième jour du mois de ramadaane 1435 d’alhijra (jeudi 24 juillet 2014 selon le calendrier dit grégorien).
[3] Ramadaane, mois de jeûne pour les croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate), par obéissance à Allaah.
[4] Makka, en Arabie.
[5] Débuts de chapitres d’Alqoraane (du Coran).
"Ta-Ha" c’est en fait les deux lettres "T-H" vocalisées (usage d’achchakle en langue arabe).
Dans d’autres chapitres la prononciation intervient aussi, comme dans "Ya-Sine" (Ya-e-Siine), "Y-S".
Il en est ainsi dans plusieurs chapitres du Livre.
Mohammad hamiid Allaah (Muhammad Hamidullah) précise dans sa traduction du Qoraane que "les sourates 2, 3, 7, 10, 11, 12, 13, 14, 15, 19, 20, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 36, 38, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 50 et 68 commencent non par des mots, mais par des lettres de l’alphabet, détachées en n’ayant pas de sens particulier.
Le Prophète Mohammad lui-même, sur lui la bénédiction et la paix, ne semble pas avoir précisé leur signification, d’où d’innombrables interprétations suggérées par les commentateurs anciens et modernes.
Laissons-les alors telles quelles" (note de bas de page, Qoraane (Coran), sourate2 (chapitre 2), Albaqara (le r roulé), La Vache, aayate 1 (verset 1), p. 2.
Kachriid note que "A.L.M.". (Alif. Laame. Miime.), "les trois lettres énigmatiques qui forment le premier verset du chapitre 2 sont l’un des mystères du Qoraane (Coran).
Certains disent qu’Allaah veut nous signifier ainsi qu’Alqoraane a été réalisé dans toute sa splendeur et sa perfection à partir des simples lettres de l’alphabet.
D’autres y trouvent des symboles qui auraient leur signification dans la langue syriaque.
D’autres enfin veulent les interpréter par la valeur numérique attribuée à chacune des lettres de l’alphabet.
Disons tout simplement que notre esprit n’arrivera jamais à épuiser tous les sens cachés de ce Livre sacré qui, selon un fameux hadith "sera ressuscité vierge le jour du jugement dernier" (yob’ath haadaa lkitaab yawma alqiyaama bikrane)".
Pour le verset 1, du chapitre 20, il ajoute que "la tradition veut que "Ta-Ha" et "Ya-Sine" soient des appellations élogieuses données par Allaah à Son Prophète Mohammad, sur lui la bénédiction et la paix".
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Lobnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 2 et 406.
[6] Références à Alqoraane ( Le Coran) qui est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah, que Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de transmettre.
Driis chchraïbii (les r roulés).
Driss Chraïbi, L’homme du Livre, roman, Éditions Balland-Eddif, 1995, P. 23-24.
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà exposé.
Voir :

mercredi 23 juillet 2014

C’EST Á ALLAAH QUE LES CROYANTS DOIVENT S’EN REMETTRE

« Si Allaah vous donne la victoire, nul ne peut vous vaincre. Et s’Il vous abandonne qui donc vous donnera la victoire ? C’est à Allaah que les croyants doivent s’en remettre ».[1]

L’ÊTRE HUMAIN EST INGRAT ENVERS SON SEIGNEUR

Par les chevaux[1] qui halètent.[2] Qui font jaillir des étincelles. Qui montent à l’assaut à l’aube.[3] Qui font voler la poussière.[4] Et pénètrent au milieu du rassemblement ennemi.[5] L’être humain[6] est ingrat envers son Seigneur.[7]



[1] Les coursiers.
[2] Par les chevaux qui galopent en faisant entendre un râle.
[3] Qui attaquent le matin.
[4] Ils soulèvent ainsi chez l’ennemi un nuage de poussière.
[5] Et pénètrent au centre de la troupe ennemie.
[6] Al-i-nçaane.
[7] L’Homme est assurément plein d’ingratitude envers son Seigneur.
Alqoraane (Le Coran), sourate 100 (chapitre 100), Al’aadiyaate, Les Chevaux qui Galopent, aayate 1 à aayate 6 (verset 1 à verset 6).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :

mardi 22 juillet 2014

AMUSEMENT ET JEU

 « Cette vie d’ici-bas n’est qu’amusement et jeu. C’est la demeure de l’au-delà[1] qui est la Vraie Vie. S’ils savaient ! »[2]



[1] Ultime.
[2] Alqoraane (Le Coran), sourate 29 (chapitre 29), Al’anekaboute, L’Araignée, aayate 64 (verset 64).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :

dimanche 20 juillet 2014

Quiconque désobéit


« Les musulmans et les musulmanes, les croyants et les croyantes,[1] les obéissants et les obéissantes, les loyaux et les loyales,[2] les endurants et les endurantes,[3] les craignants et les craignantes,[4] les donneurs d’aumône et les donneuses d’aumône, les jeûneurs et les jeûneuses, les gardiens de leur chasteté et les gardiennes, ceux qui invoquent beaucoup Allaah et les invocatrices, Allaah leur a préparé un Pardon et une Récompense Immense. Il n’appartient pas à un croyant ni à une croyante, une fois qu’Allaah et Son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allaah et à Son Messager, s’est égaré d’un égarement évident. »[5]




[1] Almouminoune wa almouminaate.
[2] Ceux et celles qui sont véridiques.
[3] Les patients et les patientes.
[4] Ceux et celles qui sont recueillis.
[5] Alqoraane (Le Coran), sourate 33 (chapitre 33), Alahzaab, Les Coalisés, aayate 35 et aayate 36 (verset 35 et verset 36).
Je reprends ce que j’ai déjà cité plus d’une fois et que je reprendrai encore et encore ine chaa-e Allaah (si Allaah veut).
Voir :

samedi 19 juillet 2014

ALKAWTAR

« Nous t’avons donné Alkawtar.[1] Accomplis la Prière pour ton Seigneur et sacrifie.[2] C’est celui qui te déteste qui sera sans descendance ».[3]



[1] Innaa a’taynaake Alkawtar.
Allaah s’adresse à Son Prophète et Messager Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Kachriid note qu’Alkawtar (le ʺrʺ roulé) est une rivière du Paradis qui a été donnée par Allaah au Prophète sur lui la bénédiction et la paix.
Après le Jugement dernier, les bienheureux seront admis à boire à cette rivière et c’est le Prophète sur lui la bénédiction et la paix qui va les y inviter.
On peut aussi traduire « Kawtar » par « bien abondant ».
Ce chapitre est venu consoler le Prophète sur lui la bénédiction et la paix de la perte du fils qui lui restait et le soutenir contre ses ennemis.
Ses ennemis n’arrêtaient pas de l’attaquer et certains se moquaient de lui parce qu’il n’avait plus de descendance mâle, d’où le qualificatif « abtar » (le ʺrʺ roulé), c'est-à-dire celui qui n’a pas de descendance.
J’ajoute (et Kachriid ne le rappelle pas dans cette note) que des mécréants à cette époque enterraient les filles vivantes car elles étaient pour eux une sorte de calamité et une source de déshonneur.
Le prophète sur lui la bénédiction et la paix avait perdu ses fils, mais avait des filles.
Il rappelait à ses compagnons qu’il aimait être appelé « abou lbannaate » (le père des filles).
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984). Note en bas de la page 824.
[2] Façallii lirabbike wa nhar (le ʺrʺ roulé).
[3] Inna chaani-a-ke howa alabtar (le ʺrʺ roulé).
Alqoraane (Le Coran), sourate 108 (chapitre 108), Alkawtar, aayate 1 à aayate 3 (verset 1 à verset 3).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :

vendredi 18 juillet 2014

QUE FAIRE ?


Faire de son mieux ici-bas comme si c’était la demeure de toujours, et se préparer à rejoindre l’au-delà à tout instant.[1]

LE TRÔNE

« Allaah point de Ilaah[1] que Lui, Le Vivant,[2] Alqayyoum[3]. Il n’est saisi ni par la somnolence ni par le sommeil. À Lui appartient ce qui est dans les cieux et ce qui est sur la terre. Qui intercède auprès de Lui si ce n’est avec Sa permission ? Il connaît leur passé et leur futur[4] et ils n’embrassent de Sa Science que ce qu’Il veut. Son Trône[5] a la contenance des cieux et de la terre et leur sauvegarde ne lui pèse en rien. Il est Le Très Haut, Le Très Grand.[6] »[7]



[1] Divinité.
[2] Alhayy.
[3] Qui veille éternellement à la bonne marche de toute chose (Salaah Addine Kachriid, Salah Eddine Kechrid).
Celui qui subsiste par Lui-même, qui n’a besoin de rien alors que tout a besoin de Lui, qui ne dépend de rien alors que tout dépend de Lui (Mohammad Hamiid Allaah, Muhammad Hamidullah).
[4] Maa bayna aydiihime wa maa khalfahome.
[5] Korçiyy, Trône, (selon Hamiid Allaah, certains commentateurs l’interprètent comme étant la Science d’Allaah).
[6] Al’aliyy, Al’adiime.
[7] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate Alkourçiyy (255), verset du Trône (255).
Je ne fais que reprendre ce que j’ai déjà cité.
Voir :

jeudi 17 juillet 2014

INVOQUER ALLAAH PAR LES PLUS BEAUX NOMS

« C’est à Allaah les plus beaux noms, invoquez-Le par eux ». [1]
L’ultime Prophète et Messager Mohammad bénédiction et paix sur lui, en a cité quatre-vingt-dix-neuf :[2]
C’est Lui Allaah, nul Ilaah[3] autre que Lui (Howwa Allaah alladhii laa Ilaah illaa howwa), Le Clément[4] (Arrahmaane), Le Miséricordieux[5] (Arrahiime), le Roi[6] (Almalik), Le Parfait[7] (Alqoddous), La Paix (Assalaam), Le Sécurisant[8] (Almoumine), Le Dominateur[9] (Almohaymine), L’Irrésistible[10] (Al’aziiz), Le Grandiose[11] (Aljabbaar), Le Superbe (Almotakabbir), Le Créateur (Alkhaaliq), Le Producteur (Albaari-e), Le Dessinateur[12] (Almoçawwir) Le Pardonneur (Alghaffaar), Le contraignant (Alqahhaar), Le Donateur (Alwahhaab), Le Pourvoyeur[13] (Arrazzaaq), Le Conquérant[14] (Alfattaah), L’Omniscient[15] (Al’aliim), Qui retient[16] (Alqaabide), Qui donne largement (Albaaçite), Qui abaisse (Alkhaafide), Qui élève (Arraafi’e), Qui donne puissance et considération (Almo’izz), Qui avilit (Almodhill), L’Oyant[17] (Assamii’e), Le Voyant[18] (Albaçiir), L’Arbitre[19] (Alhakam), Le Juste[20] (Al’adl), Le Bon (Allatiif), Le Bien-Informé[21] (Alkhabiir), Le Doux[22] (Alhaliim), L’Immense (Al’adiim), Qui pardonne (Alhgafour), Le Reconnaissant[23] (Achchakour), L’Élevé[24] (Al’aliyy), Le Grand[25] (Alkabiir), Le Gardien[26] (Alhafiid), Le Nourricier[27] (Almoqiite), Qui demande des comptes[28] (Alhaçiib), Le Majestueux (Aljaliil), Le Généreux,[29]
(Alkariime), L’Observateur[30] (Arraqiib), Qui répond[31] (Almojiib), Le Vaste[32] (Alwaaçi’e), Le Sage (Alhakiime), Le Bien-Aimant[33] (Alwadoude), Le Glorieux (Almajiide), Qui ressuscite (Albaa’ithe), Le Témoin (Achchahiide), Le Vrai (Alhaqq), Le Tuteur (Alwakiil), Le Fort (Alqawiyy), L’Inébranlable[34] (Almatiine), Le Protecteur (Alwaliyy), Le Louable (Alhamiid), Le Compteur[35] (Almohçii), L’Auteur[36] (Almobdi-e), Qui redonne existence (Almo’iid), Qui donne la vie (Almohyii), Qui donne la mort (Almomiite), Le Vivant (Alhayy), L’Immuable[37] (Alqayyoume), L’Opulent (Alwaajid), L’Illustre (Almaajid), L’Unique (Alwaahid), L’Impénétrable[38] (Assamad), Le Déterminant (Alqaadir), Qui a Pouvoir sur tout (Almoqtadir), Qui met en avant (Almoqaddime), Qui diffère (Almoakhir), Le Premier, (Alawwal), Le Dernier (Alaakhir), L’Apparent[39] (Addaahir), Le Caché (Albaatine), Le Maître (Alwaalii), Le Transcendant (Almota’aalii), Le Bienfaisant (Albarr), Qui accepte le repentir (Attawaab), Le Vengeur (Almonetaqime), L’Indulgent (Al’afoww), Le Bienveillant (Arraouf), Le Possesseur du Royaume (Maalik Almolk), Le Détenteur de la Majesté et de la Générosité (Dho Aljalaal wa Alikraam), L’Equitable (Almoqçite), Le Rassembleur, (Aljaami’e), Le Riche[40] (Alghaniyy), Qui satisfait les besoins de Ses créatures (Almoghniyy), Qui interdit[41] (Almaani’e), Qui peut nuire, (Addaar), L’Utile (Annaafi’e), La Lumière (Annour), Le Guide (Alhaadii), Le Novateur[42] (Albadii’e), Le Permanent (Albaaqii), L’Héritier (Alwaarithe), Qui dirige avec Sagesse[43] (Arrachiide), L’Endurant[44] (Assabour).



[1] Wa lillaah alasmaa-e alhosnaa, fad’ouh bihaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 7 (chapitre 7), Ala’raaf (le "r" roulé), L’Enceinte du Paradis, aayate 180 (verset 180).
[2] Hadhiite rapporté par Attirmidhii.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadiith (hadiite), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
C’est une référence à Assonna.
Assonna procède d’Alqoraane.
Alqoraane (Le Coran) est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
[3] Divinité.
[4] Le Tout Miséricordieux.
[5] Le Très Miséricordieux.
[6] Le Seigneur.
[7] Le Saint, Le Pur.
[8] Le Rassurant.
[9] Rien n’échappe à Sa Volonté.
[10] Le Sublime.
[11] L’Imposant.
[12] Le Formateur.
[13] Qui accorde la subsistance.
[14] Qui ouvre, qui accorde la victoire.
[15] Qui sait tout.
[16] Qui saisit.
[17] Qui entend tout.
[18] Qui voit tout.
[19] Le Juge.
[20] L’Équitable, Exempt de toute forme d’injustice.
[21] Le Bien Instruit, L’Expert.
[22] Le Magnanime.
[23] Qui montre Sa Gratitude envers Ses Adorateurs.
[24] Le Sublime.
[25] L’infiniment Grand.
[26] Le Préservateur, Le Conservateur.
[27] Qui nourrit tout le monde.
[28] Qui tient compte de tout.
[29] Le Noble.
[30] Le Vigilant.
[31] Qui exauce.
[32] Qui donne avec largesse.
[33] Qui aime beaucoup.
[34] Le Ferme.
[35] Qui recense tout, qui dénombre tout.
[36] Qui commence la création.
[37] Qui subsiste par Lui-Même.
[38] Qui dans Sa Plénitude Se suffit à Lui-Même.
[39] Le Manifeste.
[40] Qui n’a besoin de personne.
[41] Qui empêche.
[42] L’Inventeur.
[43] Qui agit avec droiture.
[44] Qui n’agit pas avec précipitation.
Je reprends ce que j’ai déjà présenté, et je ne manquerai pas de le faire, encore et encore, ine haa-e Allaah (si Allaah veut).
Voir :