Lors
d’un examen médical, il lui a été demandé de procéder à certaines analyses.
Et suite
à ces analyses, il s’est avéré qu’elle avait un cancer.
Assalaam ‘alaykom.[1]
Je
viens d’être mis au courant de ta maladie.
Tu
es dans une phase qui te demande de faire de ton mieux pour t’appuyer sur
l’essentiel, afin de ne pas sombrer dans le pessimisme.
« Les gens[2] ont-ils
pensé qu’on les laisserait dire[3] qu’ils
ont cru sans qu’ils ne soient soumis à l’épreuve[4] ? »[5]
« Nous
vous éprouverons par un peu de peur, de faim, de réduction des biens, des
personnes et des récoltes. Et annonce la bonne nouvelle aux endurants. Ceux qui
lorsqu’un malheur les atteint disent : « Nous sommes à Allaah et à
Lui nous retournons ».[6]
La
croyante et le croyant sont éprouvés de multiples manières et dans divers
domaines.
Dans
le domaine de la santé comme dans d’autres, ils font ce qu’ils peuvent et
gardent confiance en Allaah, Seigneur des univers.[7]
s’agissant
de la maladie, il est nécessaire de se soigner bien sûr, de prendre soin du
corps, mis à notre disposition par Allaah, et de ne pas oublier que c’est Allaah
qui guérit.
« Et
si Allaah te touche d’un mal, nul ne peut l’écarter en dehors de Lui, et s’il
te veut un bien, nul ne peut détourner
Sa générosité ».[8]
« Ce qu’Allaah accorde aux gens comme miséricorde, il
n’est personne à pouvoir la retenir et ce qu’Il retient, personne ne peut
l’envoyer après Lui. Et Il Est Le Puissant, Le Sage ».[9]
Qu’Allaah
t’aide à être endurante et à prier, encore prier, toujours prier.
« Ô
vous qui croyez ! Aidez-vous par l’endurance[10] et la
prière. Allaah est avec les endurants ».[11]
Qu’Allaah t’aide à faire des invocations, encore des
invocations, toujours des invocations.
« N’est-ce point par l’évocation d’Allaah que se
tranquillisent les coeurs ? ».[14]
Qu’Allaah t’aide à réfléchir, encore réfléchir, toujours
réfléchir.
Réfléchir,
c’est chercher à connaître, à comprendre.
En
effet, la connaissance en Islaam est importante.
Sa dimension est fondamentale.
L’Islaam
rejette l’obscurantisme, l’ignorance[15] et
pousse à l’effort[16] pour
l’acquisition de la connaissance.
Il
est donc primordial, dans ce domaine comme dans d’autres, d’être à l’écoute,
d’être humble et modeste pour apprendre et transmettre.
La
modestie et l’humilité ne signifient pas la faiblesse ou l’absence de
personnalité, comme le prétendent certains et certaines, lorsqu’il s’agit de
l’Islaam.
La
modestie et l’humilité renforcent la fermeté et la détermination dans la Voie
d’Allaah.
Qu’Allaah
t’aide à t’imprégner profondément de chaque mot de sourate Alfaatiha que tu
récites dans ta prière, à chaque cycle d’acte.[17]
Récitons-là,
encore et encore :
« Au
nom d’Allaah Le Clément,[18] Le
Miséricordieux. La louange est à Allaah , Seigneur des Univers. Le Clément, Le
Miséricordieux. Maître[19] du jour
de la rétribution. C’est Toi que
nous
adorons et c’est Toi dont nous implorons l’aide.[20]
Guide-nous dans le droit chemin.[21] Le
chemin de ceux que Tu as comblés de Tes bienfaits, non pas de ceux qui ont
encouru Ta colère, ni des égarés ».[22]
Aamiine.
Qu’Allaah
te guérisse.
Il
Est Celui qui répond aux invocations.
Il
Est Celui qui guérit.
Assalaam
‘alaykom.
Nous
connaissons peu de choses, et c’est Allaah qui Est Le Plus Savant.
Mais
nous nous vantons de savoir beaucoup de choses, et nous nous permettons de
prendre des positions tranchées et de tirer des conclusions hâtives, et définitives.
« Or
il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose alors qu’elle vous est un
bien, et il se peut que vous aimiez une chose alors qu’elle vous est mauvaise.
Et Allaah sait alors que vous ne savez pas ».[23]
Qu’Allaah
nous éclaire et nous guide.
Les
soins dans le domaine médical sont un bienfait d’Allaah : les médecins
soignent, mais c’est Allaah qui guérit.
Bientôt,
ine chaa-e Allaah, tu vas bénéficier de soins, et nous invoquons Allaah pour
qu’Il te guérisse : Lui Seul connaît ce qui va arriver.
La
confiance est à placer en Lui, tout en ne négligeant aucun moyen de se
soigner : l’Islaam nous enseigne que nous devons faire de notre mieux pour
prendre soin du corps qu’Allaah a mis à notre disposition : nous en sommes
responsables.
Dans
ce domaine comme dans d’autres, les croyants et les croyantes font ce qu’ils
peuvent dans la Voie d’Allaah.
Assalaam ‘alaykom.
En 1981,[24] j’ai
fui le Maroc, abandonnant confort, biens matériels et position sociale dite
« privilégiée ».
Les épreuves, jusqu’à ce jour,
n’ont pas manqué.
Mais par la miséricorde d’Allaah, avec
mon épouse et nos deux enfants, nous avons continué la marche ensemble et nous
la continuons, en faisant aujourd’hui de notre mieux dans la Voie du
Créateur : alhamdo lillaah.[25]
Avec les enfants, nous gardons de
beaux souvenirs des vacances.
La voiture avalait les kilomètres
sur l’autoroute du Sud.
Nous laissions la région parisienne
pour rejoindre Montélimar, dans la Drôme,[26]
pays natal de mon épouse, et lieu de notre mariage.
Le moment du déjeuner était
attendu.
Le poulet rôti, les olives, le
pain, les boissons, le fromage, les fruits, les biscuits suivaient dans le
coffre.
Les enfants aimaient que la halte
soit au bord de l’eau.
Surtout lorsqu’il faisait chaud.
Ils ont toujours eu une formidable
relation avec cet élément
Je conduisais et faisais en même
temps le conteur.
De fabuleux voyages, dans le
voyage.
Pendant une partie du trajet, je
suivais leurs expressions dans le rétroviseur, et me régalais du bonheur d’être
père.[27]
Je regardais mon épouse et voyait
sa joie d’être mère.
Des jours
passèrent puis d’autres.
Ont
défilé des visages, des villages, des villes.
Il y eut
du soleil, du vent, de la pluie.
Il y eut
des joies et des peines.
Il n’y
eut jamais de désespoir.
Ta maladie va guérir, ine chaa-e
Allaah.
« Allaah point de Ilaah[28] que Lui, Le Vivant,[29] Alqayyoum.[30] Il n’est saisi ni par la somnolence ni
par le sommeil. À Lui appartient ce qui est dans les cieux et ce qui est sur la
terre. Qui intercède auprès de Lui si ce n’est avec Sa permission ? Il connaît
leur passé et leur futur[31] et ils n’embrassent de Sa Science que ce
qu’Il veut. Son Trône[32] a la contenance des cieux et de la terre
et leur sauvegarde ne lui pèse en rien. Il est Le Très Haut, Le Très Grand.[33] ».[34]
Assalaam
‘alaykom.
« Par le soleil et par sa
clarté.
Par la lune quand elle le suit.
Par le jour quand il l’éclaire.
Par la nuit quand elle l’enveloppe.
Par le ciel et par Celui qui l’a
construit.
Par la terre et par Celui qui l’a
étendue.
Par l’âme et par Celui qui l’a
harmonieusement façonnée.
Et lui a inspiré son immoralité et
sa piété.
A réussi celui qui l’a purifiée.
Et a perdu celui qui l’a
corrompue ».[35]
Que le
contenu du Message par lequel Allaah nous sort des ténèbres à la Lumière,
irrigue nos coeurs, encore et encore.
Ibn ‘Abbaas qu’Allaah le bénisse a
dit : « Un jour, je me trouvais derrière[36]
le Prophète sur lui la bénédiction et la paix et il a dit :
« Ô jeune homme,[37]
je vais t’enseigner[38]
quelques paroles :[39]
Sois attentif envers Allaah,[40]
Il te protégera.[41] Sois attentif envers
Allaah, tu Le trouveras à tes côtés.[42]
Si tu demandes, demande à Allaah et si tu sollicites,[43] sollicite Allaah et sache que si la
communauté[44] se réunissait[45] pour qu’ils t’apportent[46] un quelconque bienfait, ils ne
t’apporteront que ce que Allaah a inscrit pour toi. Et s’ils se réunissent pour
te nuire par quelque chose, ils ne te nuiront que par ce que Allaah a inscrit
pour toi. Les plumes[47] sont rangées et les feuilles[48] ont séché ».[49]
Dans une autre version :
« Sois attentif envers Allaah,
tu le trouveras devant toi. Rappelle-toi[50] d’Allaah dans l’aisance,[51] Il se rappellera de toi dans la gêne.[52] Et sache que ce qui t’a manqué,[53] n’était pas pour t’atteindre et ce qui
t’atteint, n’était pas pour te manquer. Et sache que la victoire est avec
l’endurance, le soulagement[54] suit l’affliction[55] et qu’après la difficulté[56] vient la facilité[57] ».
Les
bienfaits d’Allaah sont innombrables.
Il Est à
notre écoute depuis toujours et tout le temps.
Parle
Lui.
Avec le
coeur et les larmes.
Debout,
assise, allongée, en prosternation.
Il
t’entend, même lorsque tu ne dis rien.
Invoque-Le.
Il Est
Celui qui répond aux invocations.
Assalaam
'alaykom.
Tu
vas être hospitalisée pour une
intervention chirurgicale, ine chaa-e Allaah.[58]
En
dépit du choc, des peurs, des inquiétudes, du désarroi, et autres que peut
susciter une telle situation, saches que c’est sur ta foi qu’il faut t’appuyer,
afin de faire de ton mieux pour être en relation, par l’évocation, avec Allaah,
Seigneur des univers,[59] et
trouver l’apaisement :
« N’est-ce point par l’évocation d’Allaah que se
tranquillisent les coeurs ? ».[60]
Tout
se passera selon ce que Allaah a décidé pour toi, avant que tu ne sois de ce
monde.
Par
Sa miséricorde, la guérison sera au rendez-vous, et aussi la faculté de mieux
saisir le Sens et approfondir le Lien.
Et
débordant de reconnaissance pour Allaah, ton coeur battra encore mieux, au
rythme de l’inoublié.
Au
rythme des couleurs originelles.
Au
rythme des graines qui germent.
Au
rythme des fleurs qui embaument le temps et l’espace.
Au
rythme des invocations.
Assalam
alaykoum.
« Au
nom d’Allaah Le Clément,[61] Le
Miséricordieux. La louange est à Allaah , Seigneur des Univers. Le Clément, Le
Miséricordieux. Maître[62] du jour
de la rétribution. C’est Toi que nous adorons et c’est Toi dont nous implorons
l’aide.[63]
Guide-nous dans le droit chemin.[64] Le
chemin de ceux que Tu as comblés de Tes bienfaits, non pas de ceux qui ont
encouru Ta colère, ni des égarés ».[65]
Aamiine.
L’intervention chirurgicale a eu lieu.
Le
personnel médical a fait son travail avec compétence, et continue les soins.
Tout
s’est bien passé, par la miséricorde d’Allaah.
La
marche ici-bas se poursuit pour la période voulue par Lui.
Je
pense à ce qui m’est arrivé, il y a plus de quarante ans.
Peu
de temps après mon arrivée en France, j’ai eu un grave accident de la route en
1972.
J’ai
failli rejoindre l’au-delà, sans m’être préoccupé du Message d’Allaah, sans
avoir fait de mon mieux pour vivre l’Islaam.[66]
L’ambulance.
La
route.
Inconscient.
Blessé.
Traumatisé.
Amnésique
en partie.[67]
Comment
ai-je survécu ?
Pourquoi ?
«Inconscient»,
je m’entends invoquer l’Unique.
J’ai
mis du temps avant de comprendre.
Avant
de voir.
Comment
ai-je fait pour m’aveugler à ce point ?
Qu’est-ce
qui embrumait la vue de mon cœur ?
« Ô
être humain ! Qu’est-ce qui t’a trompé au sujet de ton Seigneur, Le
Généreux ? »[68]
Qu’Allaah
pardonne nos errements, nos compromissions, nos fautes, nos faiblesses, nos
rancoeurs, nos insuffisances, nos incapacités et autres, nous protège des
tromperies d’achchaytaane[69] et de
tous les ennemis, nous accorde l’humilité, nous préserve de la cécité du cœur,
nous couvre des bienfaits de Sa miséricorde et nous aide à faire de notre mieux
pour l’Adorer comme Il le demande.
Qu’Il nous éclaire et nous guide.
Assalaam ‘alaykom.
Les
signes[70] sont
partout.
Allaah
permet à qui Il veut de les observer et de réfléchir :
Dans
la création des cieux et de la terre, et dans l’alternance de la nuit et du
jour, il y a des signes pour ceux qui ont un cerveau.[71]
« […]
Alors que je faisais mon ablution en me lavant les mains, le visage et les
pieds avec l’eau d’une outre, quelques gouttes tombèrent sur une touffe sèche à
mes pieds, petite plante misérable, jaune, flétrie et sans vie sous les âpres
rayons du soleil. Mais dès que l’eau commença à s’égoutter sur elle, un frisson
parcourut ses feuilles recroquevillées que je vis s’ouvrir lentement et en
tremblant. Quelques gouttes de plus, et les petites feuilles s’animèrent,
s’enroulèrent et se redressèrent doucement, en hésitant et frissonnant…Je
retins ma respiration et versai encore un peu d’eau sur la touffe d’herbe. Elle
s’anima plus vivement, presque avec violence, comme si quelque force
mystérieuse la faisait sortir du rêve de la mort. Ses feuilles se contractèrent
et s’étendirent comme les tentacules d’une étoile de mer, apparemment saisies
par un délire timide, mais irrépressible, véritable petite orgie de joie sensuelle.
Ainsi la vie entra victorieusement dans ce qui, il y a un moment, n’était que
chose
morte ;
elle y entrait visiblement, passionnément, irrésistiblement, avec une majesté
dépassant l’entendement ».[72]
Est-ce
que nous faisons de notre mieux pour observer les signes d’Allaah, et
réfléchir ? Est-ce que nous faisons de notre mieux pour saisir le Vrai et
nous éloigner du faux ?
« Il[73] a
fait descendre du ciel une eau qui a coulé en torrents selon leur importance et
le courant a porté à sa surface une écume abondante. Et de sur quoi ils
attisent le feu pour obtenir une parure[74]
ou un ustensile,[75] une
écume semblable.[76] Ainsi
Allaah représente en parabole le Vrai et le faux. Quant à l’écume, elle s’en va
au rebut et quant à ce qui profite aux gens,[77]
il demeure dans la terre. Ainsi Allaah propose les paraboles ».[78]
Kachriid note :
« Dans ce verset 17 se trouve l’une des plus belles
paraboles du Coran.[79]
Le Verbe divin[80] est
comparé à l’eau du ciel. Au contact du Coran, l’humanité se réveille et, selon
l’intensité de la foi de ceux qui y ont cru,[81]
se déclenchent des forces plus ou moins grandes de même que l’eau fait couler
des torrents inégaux en force et en étendue.
Au dessus de l’eau des torrents se forme une écume légère
et abondante de même que les métaux précieux et usuels sont surmontés d’une
écume (la gangue) quand on les fait fondre.
Le regard est aussitôt frappé par cette écume abondante
mais sans aucune valeur et appelée à disparaître rapidement et sans laisser de
trace.
C’est là le symbole de toutes les fausses valeurs, des
hypocrites et des ostentateurs.
C’est pourtant ce que l’on ne voit pas de prime abord qui
demeure en terre et rend service aux gens. C’est l’eau et les métaux purifiés
de leur gangue qui sont la vérité. Tout le reste n’est qu’une écume éphémère.
L’écume superficielle s’en va et la bonne matière reste
au fond du creuset ».[82].
BOUAZZA
[1] Assalaam, la Paix.
L’un des quatre vingt dix-neuf plus beaux Noms
d’Allaah (asmaa-e Allaah alhosnaa).
Assalaam ‘alaykom, la paix sur vous.
Ainsi se saluent les croyants et les croyantes
(almouminoune wa almouminaate), depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et
la paix.
Quelle est la réponse à ce salut ?
Wa ‘alaykom assalaam.
Et sur vous la paix.
On peut ajouter :
wa rahmato Allaah.
Et la miséricorde d’Allaah.
Et aussi :
wa barakaatoh.
Et Ses bénédictions.
[2]
Annaaçe.
[3]
Qu’Allaah les laisserait dire.
[4]
Kachriid note que cette épreuve
peut-être aussi bien par le bien que par le mal. Allaah éprouve ainsi l’homme
pour voir s’il sait le remercier dans le bonheur en respectant Sa loi et en
secourant les pauvres et s’il endure le mal avec patience. C’est en effet dans
la joie et dans la peine que l’homme a tendance à perdre la maîtrise de
lui-même et seuls les vrais croyants gardent leur égalité d’âme quels que soient
les événements extérieurs.
Salaah
Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran),
Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii,
cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note
en bas de la page 520.
[5]
Alqoraane (Le Coran), sourate 29 (chapitre 29), Al’anekaboute, L’Araignée,
aayate 2 (verset 2).
[6] Nous appartenons à Allaah
et c’est à Lui que nous retournons.
Alqoraane
(Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 155 et aayate
156 (verset 155 et verset 156).
Kachriid
note que ʺla formule de consolation citée dans le verset 156, s’appelle
ʺistirjaa’eʺ. Celui qui la prononce avec sincérité et conviction y trouve en
effet une réelle consolation dans les moments les plus difficiles.
Quand
on se rappelle qu’on est entièrement la propriété d’Allaah et que c’est vers
Lui que doit se faire notre retour, comment peut-on être écrasé de chagrin
devant la perte des biens éphémères de ce monde ? Quand Allaah nous
reprend un être cher ou un bien auquel nous sommes attachés, Allaah n’a fait
que récupérer ce qu’il nous a prêté par pure bonté de Sa part et sans aucune
contrepartie de la nôtre.
Que
pouvons-nous donner à Celui qui possède toute chose en exclusivité
totale ?ʺ
Salaah
Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran),
Lobnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami,
cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note
en bas de la page 30.
[7] Rabb al’aalamiine.
[8] Alqoraane (Le Coran),
sourate 10 (chapitre 10), Youns, Jonas, aayate 107 (verset 107).
[9] Alqoraane (Le Coran),
sourate 35 (chapitre 35), Faatir, Le Créateur, aayate 2 (verset 2).
[10] Assabr (le ʺrʺ roulé).
[11]
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 153
(verset 153).
[12] Par
la pensée et les actes.
[13]
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara, La Vache, aayate 152
(verset 152).
Kachriid
note que le verbe ʺdakaraʺ veut dire évoquer quelqu’un, prononcer son nom,
l’avoir présent à l’esprit. Donc vis-à-vis d’Allaah, c’est le fait de penser
toujours à Lui au point que cela se traduise dans toutes nos paroles et dans
tous nos actes. […].
Un
Hadith nous dit que c’est lorsqu’on est prosterné qu’on est le plus proche
d’Allaah et c’est à ce moment qu’il convient le mieux d’invoquer Sa grâce et Sa
miséricorde.
Salaah
Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran),
Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami,
cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 29.
[14]
Alqoraane (Le Coran), sourate 13 (chapitre 13), Arra’d (le ″r″
roulé), Le Tonnerre, aayate 28 (verset 28).
[15] Aljahl.
[16] Alijtihaad.
[17] Raq’a.
[18] Arrahmaane.
[19] Roi.
[20] Le soutien, le secours.
[21] Assiraate almostaqiime.
[22] Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre1),
Alfaatiha, aayate 1 à aayate 7 (verset 1 à verset 7).
[23] Alqoraane (Le Coran),
sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ʺrʺ roulé), La Vache, aayate 216 (verset
216).
[24] Selon le calendrier dit
grégorien.
[25] La louange est à Allaah.
[26]
Département 26.
[27]
Texte sur ces vacances, daté de 1992.
[28]
Divinité.
[29] Alhayy.
[30] Qui veille éternellement à la bonne
marche de toute chose (Salaah Addiine Kachriid, Salah Eddine Kechrid).
Celui qui subsiste par
Lui-même, qui n’a besoin de rien alors que tout a besoin de Lui, qui ne dépend
de rien alors que tout dépend de Lui (Mohammad Hamiid Allaah, Muhammad
Hamidullah).
[31] Maa bayna aydiihime wa maa khalfahome.
[32] Korçiyy,
Trône, (selon Hamiid Allaah, certains commentateurs l’interprètent comme étant
la Science d’Allaah).
[33] Al’aliyy, Al’adiime.
[34] Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2),
Albaqara, La Vache, aayate Alkourçiyy (255), verset du Trône (255).
[35] Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91),
Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 au verset 10).
[36] Sur une monture.
[37] Yaa gholaame.
[38] O’allimok.
[39] Kalimaate.
[40] Ihfadh Allaah.
[41] Yahfadhok.
[42] Tojaahak.
[43] Wa idaa ista’anta.
[44] Alomma, la matrie.
[45] Ou s’unissait, ijtama’ate.
[46] Il s’agit des membres de la communauté.
[47] Alaqlaame.
Les plumes qui inscrivent ce qui concerne chacun.
[48] Assohof.
L’encre utilisée pour inscrire, a séché sur les feuilles.
La totalité de l’expression
souligne que personne ne peut modifier ce que Allaah a décidé.
[49] Hadiite rapporté par
Attirmidhii.
(Le ″r″ roulé).
[50] Ta’arraf (le ″r″ roulé).
[51] Arrakhaa-e.
[52] Achchidda.
Lorsque tu seras dans la gêne.
[53] Akhta-ak.
[54] Alfaraj (le ″r″ roulé).
[55] Alkarab (le ″r″ roulé).
[56] Al’osr (le ″r″ roulé).
[57] Alyosr (le ″r″ roulé).
[58] Si Allaah veut.
[59] Rabb al’aalamiine (
[60]
Alqoraane (Le Coran), sourate 13 (chapitre 13), Arra’d (le ″r″
roulé), Le Tonnerre, aayate 28 (verset 28).
[61] Arrahmaane.
[62] Roi.
[63] Le soutien, le secours.
[64] Assiraate almostaqiime.
[65] Alqoraane (Le Coran), sourate 1 (chapitre1),
Alfaatiha, aayate 1 à aayate 7 (verset 1 à verset 7).
[66] L’Islaam, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction
et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah
le demande.
L’Islaam n’est pas une question d’ethnie, de tribu, de
clan, de classe sociale, de sexe, de couleur, de langue, de parti politique, de
pays, de nationalité, d’Etat.
Les représentations, les fantasmes, les mythes et tout
ce qui en découle, ne peuvent jamais anéantir cette Vérité.
Aujourd’hui, et depuis des lustres, l’État (ou la même
institution appelée autrement) des croyants et des croyantes (almouminoune wa
almouminaate) n’existe plus, nulle part.
Les
″États″ qui prétendent l’être sont fondés sur l’imposture, le crime, la
trahison, la tromperie, la corruption, l’injustice, la perversion, la débauche,
le mensonge, le pillage, l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la
torture, l’enfermement et autres.
L’Islaam les dénonce, les rejette, les condamne, les
combat.
L’État
des croyants et des croyantes n’existe plus, nulle part, mais les membres de la
communauté (alomma, la matrie) des croyants et des croyantes sont partout et
seront partout, par la miséricorde d’Allaah, jusqu’à la fin de l’existence
ici-bas.
L’Islaam se rapporte au Message d’Allaah à l’humanité.
Les bavardages stériles, les divagations hystériques,
les discours mensongers, les commentaires désobligeants, les déclarations
arrogantes, les campagnes de dénigrement, les insultes continues, les vexations
répétées, les sous-entendus outrageants, les élaborations humiliantes, les
propagandes malfaisantes, les tromperies constantes, les combinaisons funestes,
les amalgames cruels, les menaces ouvertes, les attaques brutales, les
entreprises de démolition et autres pratiques immondes recourent au faux pour
entretenir et maintenir l’imposture.
[67] J’ai
appris par la suite à l’hôpital que j’ai eu un sérieux traumatisme crânien et
qu’il n’est pas sûr que je retrouve la mémoire concernant les circonstances de
l’accident.
Je
ne l’ai pas retrouvé, et c’est un gendarme qui m’a expliqué l’accident, d’après
les déductions des constatations d’usage.
Je
suis resté plusieurs semaines à l’hôpital, allongé sur le dos pendant presque
toute la durée de l’hospitalisation, et alimenté par perfusion.
[68] Yaa ayyohaa alineçaane
maa gharraka birabbik alkariime ?
(Les ″r″ roulés).
Alqoraane
(Le Coran), sourate 82 (chapitre 82), Alinefitaar ((Le ″r″
roulé), La Fissuration, aayate 6 (verset 6).
[69] C’est satan, ibliis.
[70]
Aayaate.
[71] Oulou alalbaab.
[72]
Muhammad Asad (Mohammad Açad), Le chemin de la Mecque, Paris, Fayard, 1976,
P.17.
[73]
Allaah.
[74] Métal précieux,
bijoux.
[75] Un objet utile
selon la traduction de Kachriid (Kechrid).
[76] Se dégage une
écume pareille.
[77] Ce qui est utile aux Hommes selon la traduction de Haamid
Allaah (Hamidullah).
[78] Alqoraane (Le Coran), sourate 13 (chapitre 13), Arra’d,
Le Tonnerre, aayate 17 (verset 17).
[79] Qoraane.
[80] D’Allaah.
[81] Qui croient.
[82] Salaah Addiine Kachriid,
le ʺrʺ roulé (Salah Eddine Kechrid), traduction du Coran, Loubnane (Liban),
Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410
(1990), première édition, 1404 (1984).
Note en bas de la page 324.
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